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La Cabane de mes rêves

projet collaboratif en direction des écoles maternelles et élémentaires

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Danseuse :  Alice Galodé. Guidera 2 classes de l’Ecole Georges Brassens à Grans. Commande d’Anne Renault / Scènes et cinés. Avec le soutien de Joel Bertrand / Théâtre Robert Hossein

CABANE : [kaban] n.f. ≠ 1387 ; provençal. Cabane, bas lat. caponna (ce qui contient un homme seul debout )

Nos propositions artistiques s’adaptent à l’âge des enfants, aux demandes des enseignant.es et au temps consacré. Ce projet interdisciplinaire se décline en ateliers de danse, d’écriture et de réalisation plastique. Nous prenons appui sur notre expérience avec l’école élémentaire Georges Brassens de Grans où la danseuse Alice Galodé a partagé le plateau avec 2 classes et les a guidés pour suivre une partition chorégraphique pensée en lien avec les ateliers traversés  en amont. La cabane de mes rêves, un concept interdisciplinaire ( Danse/ Arts plastiques) peut se décliner et s’affiner en collaboration avec les équipes éducatives pour être au plus près des réalités de terrain.Le projet peut donner lieu, en fin de parcours, a une représentation et  à une installation des réalisations plastiques.

La cabane est éphémère, précaire dans sa structure, insolite, petite ; pourtant, par sa présence même fragile, la cabane sʼinscrit sur le sol, dans le paysage. À lʼimage du monument, la cabane ne marque-t-elle pas les esprits, le regard, lʼimagination poétique ?

Les cabanes sont des lieux du souvenir dʼenfance, de retraite et dʼisolement. Qui nʼa pas construit une cabane dans un arbre, en forêt ? Comme si la réalisation de la cabane constituait un passage, un rituel obligé dans le temps de lʼenfance...
Mon corps est ma première cabane, comme une seconde peau, elle permet un voyage au cœur de ma géographie personnelle.
Aller dans la cabane, cʼest toujours un peu, beaucoup parfois, partir. Nos voyages intérieurs ne sont ils pas nos plus importantes prises d’espace ?

La cabane a quelque chose à voir avec le corps mobile et itinérant, avec le corps que nous sommes; la maison, avec le corps que nous avons (Tiberghien)


Dans ce projet, qui peut impliquer jusqu’à 2 classes, la danseuse Alice Galodé partage le plateau avec les élèves. En amont, des ateliers qui leur permettent d’apprendre une partition faite de consignes sur l’imaginaire de la cabane, avec et sans accessoires.


Nous proposons un parcours artistique, danse et arts plastiques, pour les autres classes avec support de livres, photos, textes pour nourrir l’imaginaire des élèves qui pourront ainsi  réaliser dessins, maquettes et cabanes à l’échelle pour une installation avant le spectacle des élèves danseurs. Les élèves piocheront dans un stock de matériaux : papier d’aluminium, cartons, plastique souple, ficelles, branchage…


Un apprentissage de la persévérance, de l’entraide.

Vivre l’architecture, même précaire, c’est vivre une oeuvre avec le corps et les 5 sens, c’est s'appuyer sur l’espace, les matières, les formes, les sons, les couleurs, c’est interroger sa maison utopique, éphémère, nomade ou rêvée.

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